‹ Blog: Romain Berthon

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Nouvelle présentation, nouveau co-spreaker ! Cette fois-ci, c’est Aurélien BOUDOUX qui m’accompagne pour vous proposer un retour d’expérience sur nos années de développement avec le pattern CQRS/ES. Fun fact : nous avons eu l’idée de ce talk parce que nos pratiques semblaient converger malgré des expériences très différentes. En construisant ce talk, nous avons découvert qu’en réalité nous avons des pratiques très différentes, et que celles-ci sont en grande partie issues de nos contextes respectifs.
Clap de fin pour cette présentation, nous avons donné notre dernière session le vendredi 26 avril à MixIT. J’ai eu grand plaisir à présenter ce sujet si particulier avec mon co-speaker Olivier PONCET. Abstract Lundi 21 juillet 1969, l’humanité posait pour la première fois le pied sur la Lune. Cet exploit est le fruit de nombreuses avancées techniques et technologiques, notamment en électronique et dans le domaine de l’informatique alors naissant.
Au cours de ma carrière, j’ai été confronté à plusieurs reprises à des clients et/ou des acteurs internes qui souhaitent assurer un haut niveau d’uniformisation sur le code des applications. Cela se traduit par des conventions de style, de nommage, et parfois même des choix plus impactant comme des frameworks ou des architectures spécifiques. Dans les cas extrêmes, les propos de ces personnes laissaient entendre le refus d’un quelconque écart avec ces règles.
UN BIAIS COGNITIF ET UN USAGE ERRONÉ Les développeurs aiment bien les acronymes pour énoncer des “bonnes pratiques” (KISS, DRY, SOLID, etc…). Souvent, l’idée véhiculée par ceux-ci est très simple à appréhender. Cependant, nous souffrons d’un biais cognitif énorme : plus une information est simple à intégrer, moins elle est remise en question / challengée. Et celle-ci est encore mieux intégrée si elle ne va pas en contradiction avec vos croyances.
Voilà maintenant plus de 5 ans que j’applique une approche TDD (test-driven development) sur l’ensemble des projets sur lesquels j’interviens. Si j’utilise toujours cette méthode, c’est parce que la présence de tests me donne confiance dans le code que j’écris : Je m’assure qu’il fait bien ce que je souhaite. J’améliore constamment son design par du refactoring. Les tests mettent en lumière la très grande majorité des régressions que je peux introduire lors d’un refactoring ou d’une évolution.
Feb 04, 2020
Il y a quelques jours, au cours d’une discussion, on m’a demandé quelles sont les pratiques que je pousse dans une équipe dans le but d’améliorer la qualité de code. Bon nombre de pratiques comme TDD, clean code ou encore DDD et ses bounded-contexts ayant déjà été cités, j’ai donc répondu : un code métier pur, parfois appelé functional core. Dans cet article, je pars du principe que vous faite une distinction et séparation forte entre le code métier qui répond à une logique business, et le code infra qui répond aux problématiques techniques.
Je suis un développeur convaincu par les bénéfices du TDD, je l’applique au quotidien sur les projets que me confient mes clients. Cela me permet de rapidement valider que mon code a bien le comportement attendu, de le “documenter” et décrivant un cas d’usage et de m’assurer par la suite que je n’introduis aucune régression si je modifie le code testé. Je fais tout ceci en sachant que je choisis des cas de test qui me semblent représentatifs de l’usage de la fonction, on parle parfois d’Example Based Tests.
J’ai récemment pu participer à un atelier animé par Romeu Mourra lors des NCrafts. Pas de technique ici, le but était de mettre en lumière des problèmes d’ordres systémiques. Pour cela, nous avons fait un Kebab Kata sous forme d’itérations aux-cours desquelles Romeu jouait le rôle du client, puis également de l’architecte. Son but était de nous faire échouer en usant de différents comportements toxiques que l’on retrouve fréquemment dans de vraies missions.
Feb 07, 2017
Dans mon précédent article, j’ai évoqué les raisons pour lesquelles il faut s’orienter ou non vers une architecture de type CQRS. Parmi ces raisons, la première que j’ai évoqué était le niveau de complexité du métier : plus le métier est complexe, plus CQRS devient pertinent. Seulement, comment définir et évaluer la complexité métier de son application ? LA COMPLEXITÉ, C’EST QUOI ? “Complexité, n.f. : Caractère de ce qui est complexe, qui comporte des éléments divers qu’il est difficile de démêler” : définition proposée par le Larousse.
Actuellement, j’entend de plus en plus parler de CQRS et CQRS/ES : par mes collègues autour de la machine à café, lors d’entretiens techniques, sur Twitter, les blogs, etc. Le principe du Command and Query Responsability Segregation (CQRS) est de séparer modèles d’écriture et modèles de lecture. L’Event Sourcing (ES) quant à lui consiste à sauvegarder des événements au lieu d’entités, pour reconstruire une entité il faut agréger des événements. Exprimés de cette façon, ces concepts semblent plutôt simples à comprendre, mais les aspects techniques peuvent vite les rendre complexes à appréhender et implémenter.
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